Sur la route du retour, on est passés par Millau et son viaduc.
Depuis son viaduc, on ne passe plus par Millau, on ne voit plus le Mac do qui avait été démonté par José, on ne voit plus le plateau du Larzac et ces champs désertiques. En plus à l'époque avec les emboutaillages, on avait le temps d'admirer la capitale du Gant.
Maintenant on paie et on traverse la ville, à bord d'un voilier, le viaduc.
On se prend alors pour un bâtisseur.
On voudrait porter le tablier.
Ou alors on voudrait le pousser.
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